Il existe un nombre incalculable d’épilations différentes. La cire, la pince à épiler, le rasage… Mais aussi, tout de même moins courant, l’épilation au fil ou encore au sucre. Et si, en fait, le choix le plus écologique était l’épilation définitive ?
Parler d’épilation définitive et d’écologie, n’est-ce pas un peu tirer par les cheveux ? C’est certain, on peut se poser la question. Pourtant, vous allez le voir, ce n’est pas si absurde que ça.
Je vous vois venir, avec un sujet sur l’épilation définitive, vous allez me traiter de « poilue ». Et bien, vous n’auriez ni tort, ni raison. Mon esthéticienne parle de « pilosité normale ». Pourtant, rien n’y fait, être poilue, je n’aime pas ça. Après avoir passé le rasoir de longues années sur mes gambettes, je suis passée à l’épilation.
J’ai testé pour vous…
Niveau épilation, on peut dire que j’ai tout essayé pour que mes poils repoussent moins vite : la cire chaude, la cire froide, l’épilateur et même l’épilation au sucre ! Succès plus ou moins mitigé pour toutes ses solutions.
- L’épilation à la cire. En plus d’être affreusement douloureuse, ce type d’épilation demander une bonne dose de courage avant de retirer la bande de cire d’un coup sec. À cela, il faut ajouter que la cire utilisée n’est pas toujours naturelle.
- L’épilation au sucre. La pâte au sucre est tout de même plus agréable que la cire. En plus, les produits utilisés sont naturels. Pourtant, c’est le même principe. On pose une bande sur la jambe et on tire. Même si c’est tout de même moins douloureux, je passe mon tour.
- L’épilateur électrique. Que dire sur l’épilateur électrique ? C’est une révolution, c’est certain. Ça fonctionne, c’est certain. Pourtant, si vous avez les gambettes délicates comme les miennes, vous finirez avec d’affreux points rouges sur les jambes. Sans oublier que ça fait tout de même mal.
Quand la dernière solution est l’épilation définitive
Finalement, après avoir testé à peu près tout, sans jamais être satisfaite, mon esthéticienne à Bruxelles m’a parlé de l’épilation définitive. J’avoue, je n’étais pas très chaude au début. Déjà, rien que le prix me faisait hésiter. Et puis, je n’avais pas entendu que du positif sur ce type d’épilation. Finalement, après plusieurs mois d’hésitation et de recherches sur internet, j’ai sauté le pas.
L’argument qui m’a réellement convaincue, c’est l’écologie. Après avoir fait le compte du nombre de bombes de mousses à raser, de bandes de cire, de rasoirs et de produits chimiques plus ou moins toxiques que j’avais utilisés, j’étais convaincue. J’avoue que l’argument du porte-monnaie a un peu joué aussi. Ne plus jamais devoir payer pour me raser ou m’épiler, le rêve !
En fait, même si d’autres formes d’épilation peuvent sembler écologiques, lorsque l’on compte le nombre d’épilation que l’on doit faire dans une vie multiplié par le nombre de femmes et d’hommes qui s’épilent, on finit par se rendre compte que l’épilation définitive est la bonne solution. Pour soi, mais aussi pour l’environnement !
Ah oui, de fait, je n’avais pas pensé à cela! C’est vrai que rien que le maillot peut coûter cher en épilation sur une année!!
Super article, ça fait plaisir de lire ces conseils, avec un poil d’humour ! Je met ça en favoris !